Féministes, ces animaux si loin de la condition humaine
Publié par The Troll le 21 07 2017

Cela faisait longtemps...mais je suis tombé sur un article de Ma... non je vais pas le citer, donc du torchon... sur Emma, une 'féministe' qui se penche sur la place de la femme 'esclave' de la société patriarcale, sexiste, machiste (et probablement facho et homophobe).

Donc cette grognasse, après la 'charge mentale' (comprendre la femme fait tout et le mec reste sur le canapé à boire de la bière et regarder le foot), si c'était un élève de terminale, il aurait un 4/20 pour le ramassis de clichés, elle revient avec l'attente.

Alors l'attente c'est quoi ? en gros la femme attend son mari à la maison pour qu'il prenne en charge sa part des taches ménagères. je suppose qu'il doit y avoir les poncifs habituels de la carrière de l'homme et du sacrifice de la femme ; le poncif de la femme qui se 'sacrifie' pour l'enfant, alors que lorsque l'on a un chien, c'est 50-50 (enfin c'est surtout l'homme qui le sort), enfin ce genre de connerie. Il suffit d'avoir un minimum de connaissance en neuroscience et de connaître la notion de 'lien d'attachement' pour se dire que ces bonne femmes ne DOIVENT pas avoir d'enfant (elles n'ont qu'à prendre des chats - parce que les chiens c'est encore trop de responsabilités pour elles.) ce n'est pas un crime de ne pas avoir d'enfant, ce n'est pas une "défaite" ou un reniement de ne pas enfanter, c'est un choix que l'on doit faire si on ne VEUT PAS ASSUMER ce que cela implique.

Plusieurs remarques :

  • Si ces 'féministes' se plaignent du mec qui fait rien et travaille tard : qu'elles le quittent, ce connard, qu'elles se mettent en couple avec un chômeur qui sera à la maison tout le temps et pourra passer l'aspirateur et faire les courses pendant qu'elles géreront les finances du ménage et assumeront (ou pas) l'équilibre budgétaire. En tant qu'homme, cela me va 10000% d'avoir cette position.
  • Je commence à en avoir plein les couilles de ces meufs qui se mettent avec le bad boy (il est trop ténébreux avec sa moto et ses soirées trash) et se plaignent qu'il n'est pas réglé comme une horloge et ne rentre pas manger à 19h30, et parfois arrive bourré à 3h00 du mat.
  • J'en ai ma claque de ces putes qui se maquent avec le mec qui a une bonne place, et ramasse le max de pèze afin de trouver ou garder un certain standing social, et qui ensuite chouinent qu'il est un brin macho et rentre tard du travail et qu'il n'est pas là pour mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle.
  • je ne peut plus supporter ces connasses qui affirment 'les hommes blablabla' pour ne pas dire MON homme blablabla... Qu'elles le quittent, putain, plutôt que de venir baver sur tout le monde et pleurer comme des chialeuses. Ces féministes de bas étage (souvent, d'ailleurs, avec une femme en couple ou célibataires) viennent parler des hommes... autant demander à un prêtre de parler d'orgasme clitoridien.

Ce que je vois c'est que CHAQUE putain de combat féministe 'gagné' n'est qu'une régression pour tout le monde des droits, et là, comme dans la pièce de Hanns Johst, intitulé Schlageter, je dirais "Quand j'entends le mot "féministe", je défais le cran de sûreté de mon browning"

ps : ouais je suis vénère.

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