il y a résistance et résistance
Publié par The Troll le 17 01 2024

je reprends ici un deuxième commentaire que j'ai fait sous un article de blog que je ne fréquente plus (un de plus), cela me fait gagner des heures, parce qu'il n'est pas possible d'avoir une discussion intelligente. Cela permet de garder trace de mes écrits et pensées.

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Je vais faire une toute petite remarque liminaire. Je n’ai pas trop de soucis avec des billets de blogs qui sont lexiquement parlant peu châtiés. Nous savons, ceux qui écrivent (j’ai moi-même un blog), que nous ne sommes lus par quelques qui pensent peu ou prou la même chose. J’ai un peu plus de mal (et cette remarque ne visait pas ce « blog » en particulier) avec des gens qui insultent d’autres dans des commentaires. J’ai été victime de ce genre d’individus d’être insulté parce que je ne pensais pas comme « il faut ». cela a changé _radicalement_ mon approche. et m’a fait laisser tomber la « résistance ».

Le bon sens et la remise en question est un truc assez élastique. Par exemple toi-même tu as attrapé un « truc » (possiblement de vaxXxinés – je pense que les vaxXxinés peuvent contaminer, nous aussi on l’a attrapé de vaxXxinés). tu ne sais pas trop quoi, eh, c’était peut-être juste des effets des ondes 5G… renseigne-toi et gagne un peu de bon sens… nan je rigole. Oui le gros ventre mou peut gober des conneries qu’un gamin de 12 ans ( qui n’a pas été à l’école c’est le point important) ne goberait pas., mais l’école sert exactement à ça : apprendre à faire gober ce qui n’est pas possible. Tu étais dans les rangs de la résistance contre la suppression de l’instruction en famille ?

Dans ta première réponse, tu transformes les victimes en coupables. C’est les premiers symptômes d’une défaite intégrale : je vais faire chier les gens dans les magasins pour leur montrer que ce sont des cons, parce qu’il n’y a rien d’autre que je puisse faire. Moi je faisais chier personne (je peux/doit accepter leurs peurs) mais j’en rajoutais : les caissières dans leur aquarium ! ! (sinon on va tous mourir) cliquer sur les trucs carte bleus avec un paquet de biscotte (pour ne pas le toucher avec les doigts) en expliquant que sinon une armée de zombies allait venir nous dévorer la cervelle (ou ce qu’il en restait). Cela aurait valu d’être filmé. Passé les 3 premières semaines ou je n’étais pas rassuré, je restais dans les clous, car je ne peux pas me permettre 135 euros d’amendes, mais je faisais de la résistance « passive » : le même masque en tissu mal porté, et je le disais ouvertement. J’avais plus peur des 135 euros que du covid.

Un blog qui est « insultant » ou « méprisant » ne peut pas être partagé, il sert (comme le mien) à une sorte de thérapie individuelle, une sorte de mur des lamentations, cela fait du bien (et rien que pour cela), mais cela ne fait pas avancer le schmilblick.

De mon point de vue sur la plandémie, il y a eu des résistants et comme ils prenaient de l’ampleur, je pense vraiment qu’ils ont été infiltrés pour leur faire diffuser des infos qui étaient inécoutables/inentendables. lorsque pierre chaillot a expliqué que la contagion n’existait pas et que les gens étaient morts à cause du froid il a perdu pratiquement tout le monde. Sa théorie (une resucée de celle de rancourt) étant que si on recentre toutes les courbes en cloche en tenant compte de leur largeur, le pic était tous à la même date. Partant de ce point (c’est quand même de la bidouille de data) la « plandémie » est apparue partout exactement au même exact moment (sic) et donc qu’il n’y a pas de contagion (et donc pas de maladie). qu’il y ait une courbe de cas et pas juste une simple barre ne lui pose aucun souci intellectuel, parce que sa théorie est dès lors érigée en axiome, contre la réalité observable. Les virus qui n’existent pas est impensable parce que toute la science actuelle montre qu’ils existent. Le virus du sida n’existe pas ? (duesberg) du coup… le sang contaminé n’existe pas non plus et les hémophiles sont morts des ondes 5G.

Ce que je tente d’expliquer est que le monde dans lequel nous vivons fonctionne avec un corpus de connaissances qui est « complet » et cohérent. Dans le monde de la médecine : pathogène/contagion/traitement est un ensemble que tout corrobore. : les pathogènes sont « séquencés », avec la même méthode que pour notre adn. si le séquençage est une merde (je peux l’entendre) alors tout le séquençage de notre adn l’est aussi. Ce que l’on refuse pour les virus, on doit le refuser pour le reste, et tout plein de choses s’effondre.

Il est fort possible que cet ensemble complet est une mauvaise interprétation d’une vérité. Peut-être effectivement que les « virus » en tant que pathogène _précédant_ une infection est une erreur. Et que l’infection arrive d’autre chose, que notre corps _produit_ le « pathogène » qui n’est qu’une conséquence. Peut-être que la « contagion » est l’effet d’ondes bio-magnétiques (ce que montagnier commençait à montrer enfin… des prémisses… à propos du virus du sida) qui font fabriquer à la cible la maladie, le pathogène étant juste un marqueur. Le traitement alors n’étant qu’une modification du terrain « tuant » la maladie et faisant disparaître le pathogène qui disparait alors en même temps que la « maladie » (la maladie étant peut-être juste un état différent de notre corps qui nécessite un ajustement de nos comportements – comme le froid que l’on ressent lorsque l’on sort en t-shirt dehors par -20° – on n’est pas malade d’avoir froid). cet ensemble « complet et cohérent » peut tout à fait être la vérité. Le truc c’est qu’elle n’occulte pas du tout la réalité : des gens sont « différents » de ce qu’ils sont censés être et si on ne le gère pas, les plus faibles (sans pouvoir identifier toutes les faiblesses) crèvent. Tu n’es pas malade d’avoir froid, mais si tu restes à poil à -20° tu vas crever… de froid. Ainsi tout ce que l’on pouvait donner aux gens pour les « soigner » devait être fait pour éviter de les laisser crever. Cette théorie permet de mettre de côté, le virus, la « contagion », la « plandémie » mais il reste le point principal : il faut SOIGNER les gens avec un « truc » qui fonctionne.

Mais pour cela il faut que ceux qui disent qu’il ne s’est rien passé ne soient pas écoutés, parce s’il ne se passe rien, il n’y a rien à soigner. Et s’il ‘y a rien à soigner de quoi les gens sont morts ?

Mais comme je le dis (et ce sera ma dernière intervention ici) chaque « silos » s’est construit autour d’une pseudo-communauté (plus ou moins grande) avec ses axiomes et rien ne pourra venir troubler la calmitude des certitudes établies. Et en forme d’épanadiplose narrative : on ne peut pas accuser les « mougeons » de rester collés à leurs certitudes lorsque l’on est soi-même collés aux siennes. Le monde est comme cela.

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Le premier article est là : Petit regard sur la «Plandémie»

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