Quels combats pour les femmes
Publié par The Troll le 18 11 2023

Publication reprise de mon compte diaspora


les femmes ont un problème avec le choix, problème qui croît exponentiellement avec le nombre d’options qui leur est présenté. Or elles sont passées en quelques décennies du choix relativement confortable du moins pire des prétendants de leur village, aux choix offerts par le monde du travail, l’école, l’université et finalement le Monde entier, puisqu’il suffit d’un compte Instagram pour attirer tous les affamés de la planète, ce qui pousse parfois certaines à faire la moue en permanence en se la jouant star de cinéma, ce qui ne favorise pas les rencontres.

Elles terminent alors leur périple sur Tinder, où elles peuvent, sans que cela les perturbe le moins du monde, être aussi superficielles que les hommes auxquels elles en font généralement le reproche et choisir, sur la base du seul physique, parmi une minorité d’individus qui n’ont que l’embarras du choix, vont les consommer sans donner suite, pour finir avec quelqu’un de plus jeune quand ils en auront bien profité, créant à la fois un ressentiment envers les autres hommes qui n’y sont pour rien, tout en confortant, faute de pouvoir regarder la réalité en face, le rêve éveillé d’une âme sœur cochant toutes les cases de plus en plus nombreuses ajoutées au fil des années qui, quelque part, les attend. Ce qui revient à se lamenter de n’avoir rien à se mettre devant une armoire pleine, chose qui deviendra réalité, lorsque pour avoir trop attendu elles auront trop changé pour trouver encore dans ladite armoire quelque chose qui leur aille dans le créneau de fertilité qui leur reste.
https://lamitedanslacaverne.blogspot.com/2023/08/labsurde-guerre-des-sexes-07082023.html

Même si les prémisses sont caricaturales et que je pense que ce problème de choix est a-sexué (plus on a de choix, plus il est compliqué de se décider) cet individu que je n’apprécie pas plus que cela hors le côté humour noir (qui n’est peut-être pour lui pas de l’humour) a le mérite de poser une problématique intéressante. Le rôle que la femme s’impose à elle-même, de par une idéologie dévoyée, et qui les pousse dans des situations peu enviables dont elles rejettent la faute immédiatement sur un “patriarcat” “toxique”.

De la même manière qu’un individu biologiquement mâle ne peut avoir intellectuellement aucune réalisation professionnelle dans un métier qui ne procure ni satisfaction, ni plaisir, ni carrière (pour ne fâcher personne prenons un métier désuet qui est garde champêtre), un individu biologiquement femelle à probablement plus (+) de véritables (entendre véritable par non induit par un discours libéral) plaisirs à élever son/ses enfants qu’à remplir des rayons et scanner des produits à une caisse.

ATTENTION : cela ne veut pas dire que cet individu femelle doit rester cloîtré à la maison : elle peut avoir une activité sociale avec d’autres individus faisant le même choix, elle peut poursuivre des hobbies et exister, même en tant qu’agent dit “improductif” par la propagande libérale. Je trouve “bizarre” que la “doxa” (même féministe) nous explique que la femme DOIT se réaliser dans un monde professionnel abrutissant et aliénant et qu’elle refuse d’admettre que ces mêmes femmes puissent se réaliser dans l’éducation de sa progéniture, qui est depuis à peu près 7 millions d’année, le rôle qu’elle accepte lorsqu’elle décide d’enfanter.

Je trouve alors parfaitement étonnant que les combats “féministes” sont parfaitement raccords avec les combats “libéraux” qui poussent les femmes dans un état d’asservissement tout à fait égalitaire de celui des hommes, alors qu’on pourrait attendre d’elles, un combat sur la reconnaissance de ce “travail” qu’est l’éducation de ses enfants (pourquoi, si vous donnez à élever votre enfant à une inconnue, l’état paie cette inconnue et si vous le faites vous-même, il ne vous paie pas, si ce n’est qu’il VEUT casser la relation parents-enfants) ?

Comme on sait que l’empathie vient de cette relation mère-enfant et que les saloperies que la société nous fait faire serait impossible sans avoir d’abord castré notre empathie “naturelle”, je ne suis pas loin de penser que les féministes sont instrumentalisées pour empêcher de créer ce lien (les femmes se font alors violence car c’est anti-naturel de laisser l’enfant que vous avez mis au monde à une autre) afin de pouvoir faire ce monde dégueulasse que nous vivons actuellement.

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Ceci est une représentation
Publié par The Troll le 22 09 2022

Hier, à vu défiler sur les rézos sociaux, cette brillante image d'une présentatrice télévisuelle qui montrait, à nos effarement incrédules, la nouvelle arme soviétique : des mini-bombes nucléaires d'une puissance de 2km. Pour l'individu ayant regardé une série ou l'en en parle, ou lu un simple article de vulgarisation, il y a la notion primordiale de masse critique (la masse minimum pour initier une réaction) et le minimum du minimum est pour l'uraniumn avec 16 Kg. Plus tout ce qu'il faut pour en faire une bombe

Lorsque l'on affirme, il faut MONTRER ce que l'on affirme, et donc cette présentatrice nous montre l'objet qui va nous tuer. Malheureusement (ou heureusement c'est selon), cet objet est un goodie que l'on trouve sur aliexpress pour 3 euros. Un, truc en plastique qui ressemble à un objet dans un jeu vidéo.

Parfois la représentation dépasse la fiction

Je n'arrive pas à imaginer comment des adultes se sentant une mission d'information tombent dans cette fange. Faire peur à la population, sous de faux prétexte, en faisant passer un jouet pour une bombe nucléaire. C'est hors de mon champ de compréhension intellectuel, comme si d'un seul coup les pommes tombaient en l'air.

La chaîne a bien du faire machine arrière, devant le ridicule qui lui a explosé en plein poire, en affirmant que c'était une représentation. Et en fait elle a raison, c'est bien une représentation d'un journaliste. un peu à la mode Magritte "ceci n'est pas une journaliste". comme disent les jeunes, ils sont nés après la honte.

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La retraite chez les fragiles
Publié par The Troll le 30 09 2022

Je dois avoir un petit coté sado-maso, mais je suis retourné lire chez les... vous savez... le billet précédent. Et forcément article sur les retraites, écrit et commenté par cette "élite" de gens instruits qui disent que ce système par répartition est une pyramide de ponzy. que la solidarité entre génération ne peut marcher et qu'il n'y a que la gestion individuelle et les autres se démerdent.

Quant à réformer une arnaque à la Ponzi, bon courage pour obtenir un résultat sérieux à partir de réformettes n’attentant en rien aux principes vérolés qui servent de base.
Pas besoin d’un ordinateur pour cela… Mon prof d’histoire-géo en seconde, en 1979, nous a expliqué ce qu’était une pyramide des âges et son utilité en nous démontrant que le système de retraite par répartition était voué à sauter au plus tard en 2030.

Ainsi ils nous expliquent doctement qu'à la fin de la guerre avec beaucoup plus d'actifs que de retraités (qui ne vivaient pas très vieux) c'était soutenable, mais maintenant avec pratiquement 1 pour 1, ce n'est plus possible et qu'il faut supprimer ce système inique. Mais ces demis-instruits oublient de dire qu'en 1949, le PIB était de 13 milliards et qu'il est aujourd'hui de 2 500 milliards. Je pense qu'il y a matière a une discussion un peu intelligente (et donc pas avec eux) pour analyser les possibilités de gestion des systèmes de retraites.

Mais le pire de tout étant que ces demis-instruits, du fait de leur manque d'humanité (ce truc qui fait relation avec l'autre que l'on ne connaît pas) ne voient pas l'éléphant dans la pièce. Ce n'est pas le nombre de cotisants qui importent, mais le volume global des cotisations. Quelle différence entre 1000 personnes qui gagnent 1000 euros et une personne qui en gagne 1 000 000 ? je n'en trouve pas. Ainsi donc, le souci est donc bien la tendance à la baisse des rentrés de cotisations par un "tassement" (jolie euphémisme non ?) de la masse salariale. Tassement qui s'explique facilement par une baisse relative des salaires et une diminution du travail salarié. Forcément puisque tout a été désindustrialisé, robotisé (robots qui ne paient pas de cotisation — hint : point réflexion), délocalisé.

Et donc ces demis-intelligents (que j’appelle dans le billet précédent (une histoire d'intelligence émotionnelle) des "cons") se disent que les gens n'ont qu'à se démerder tout seul dans un monde globalement sans travail. Je ne sais pas trop comment ils imaginent que les gens vont trouver de l'argent à économiser pour leur retraite (probablement en les confiant à des fonds de pensions qui seront peut-être là au moment où ils devront rendre l'argent - souvenez vous d'enron). Alors moi je sais, ils sen branlent c'est de demerdensisich de ceux qui se "croient" intelligents et que la moindre parcelle d'intelligence émotionnelle montre que ce sont juste des cons.

En fait, ils tapent sur makron, mais ils sont faits de la même argile, cette sociopathie de bon aloi de clui qui se croit au-dessus des autres parce qu'il est un peu plus instruit, mais en fait, pas intelligent.

D'un point de vue politique (au sens propre) et humain, de la même manière dont on peut juger une société à la manière dont elle traite les plus faibles, le système de retraites en est un corollaire. Soit on veut une retraite par répartition ou la société est par nature solidaire et ou la génération des actifs prend soin de leurs parents (la génération des retraités). Dans cette société, le but d'un pouvoir politique est de favoriser le travail des actifs, des bons salaires (et donc des bonnes cotisations). en gros on fait attention à nos "jeunes". Et il y a l'autre vision, la retraite par capitalisation où tout le monde s'en branle de l'autre et ou, obligatoirement, le but est de "pressurer" nos "jeunes" (les actifs) pour assurer le rendement des capitaux (l'argent qui est gagné est pris à d'autres). Le souci est que cela implique obligatoirement une spirale descendante, chaque génération étant plus pressurée que la précédente à cause de la loi des rendements décroissants. D'ailleurs il suffit de regarder ce que nous sommes en train de vivre actuellement pour vérifier ce simple fait.

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